Le chien hurle ses maîtres, le chien aboie ses amis
Seul, délaissé par le prêtre, abandonné et sans vie.
Les échos de la pierre taillée résonnent de son appel
Seuls la liturgie lui répondait, et les oraisons et le gel !
Au cœur du sombre hiver, ce dernier l'abîmait, cruel...
Alors que se meurt le hère qui dans la pierre se mêle.
Son cœur bat, il bondit ! Son cœur s'arrête, il se fige !
Petit à petit voilà qu'il se vit tel une feuille sans tige.
À la pleine Lune
Le chien garde le temple
Aboiements de roc
L'orage gronde au loin
Le chien pleure sa vie
石
Énorme le Renga ! Et tu veux que je t’imite alors que tu m'intimides !
RépondreSupprimerSuperbe ! (comme toujours !) ...
RépondreSupprimerContinues d'écrire des poèmes, ils sont sublimes !!!
Merci pour vos compliments à tous deux...
RépondreSupprimerPour le Renga, Lutin, je suis sûr et certain que tu es capable de m'imiter et de m'enfoncer à ce petit défi. Simplement ça ne se fait pas en deux minutes, c'est sûr. Ce billet je l'ai potassé pendant une semaine et modifié encore hier soir.
Mais je t'assure, tu n'as aucune raison de te sentir intimidé. ;)