jeudi 11 juin 2015

Wikipédia : l'article oublié...

(photo d'une araignée géante sortie depuis peu de l’œuf.)

Araignée géante

Arachne, Ungoliant, redirigent ici. Pour consulter la page globale des araignées, voyez Araneae (Araignée)


Les araignées géantes ou archiaranéides (ordre des archiaraneae) sont des prédateurs invertébrés arthropodes de la classe des arachnides.
Elles sont dotées de huit pattes et ne disposent ni d'ailes ni d'antennes ni de pièces masticatrices dans la bouche. Leurs yeux sont au nombre de douze. Elles sécrètent une soie qui sert à produire le fil qui leur permet de se déplacer, de tisser leur toile ou des cocons emprisonnant leurs proies ou protégeant leurs œufs.
Appartenant à la classe des arachnides, leur anatomie diffère peu de celle des espèces courantes d'araignées, néanmoins de nombreuses conjectures restent encore à éclaircir, leur dangerosité rendant leur étude extrêmement difficile. [ref nécessaire]


Découverte

Nous savons de nos jours que les araignées géantes vivent généralement dans des endroits reculés, leur lieu de vie favori semblant être des forêts primaires. Leur existence n'est acquise pour certaine que depuis 1858 avec la fameuse découverte de A.R. Heignay, mais leur présence semble avoir durablement marqué la culture de nombreux peuples au travers des âges, notamment par le biais des mythologies hobbites et sindarines.
Le genre archiaraneae a été créé en 1861 avec l'aide des cryptozoologues de l'époque et l'appui important de la Couronne d'Angleterre qui financèrent la première expédition qui rapporta un cadavre d'araignée géante au Muséum d'Histoire Naturelle de Londres et permirent la première description scientifique de ce nouvel ordre d'araignées.
Par la suite les araignées géantes firent l'objet d'une chasse considérable jusqu'en 1917 avant de diminuer naturellement en nombre par l'impact considérable de la pollution sur leurs capacités reproductrices.


Dimensions

La taille moyenne exacte des araignées géantes adultes n'est pas connue avec exactitude, en raison de leur capacité surnaturelle au camouflage ainsi qu'en raison de leur dangerosité réelle rendant très périlleuse toute expédition d'observation. Néanmoins, la taille habituellement rapportée, que ce soit au travers des rares documents scientifiques ou des traditions culturelles nordiques, font état d'araignées géantes mesurant environ 1 mètre à 1,50  mètre de haut pour une envergure habituelle de quatre mètres.
Un œil d'araignée géante d'un mètre de diamètre a été retrouvé dans une expédition malheureuse en 1959 en Écosse, et semble indiquer que les plus gros individus puissent dépasser de loin les 5 mètres de hauteur et les 15 mètres d'envergure.

Protection


Au sortir de la seconde guerre mondiale, on ne comptait plus guère que 12 potentiels nids d'araignées géantes en Europe ( 5 en Écosse, 3 en France, 2 en Suisse et 2 en Allemagne). Il fallut attendre 1957 et les accords de Cul-de-Sac sur la protection des créatures partiellement surnaturelles pour que soit institué un véritable plan de sauvegarde des araignées géantes, rejointes en 1958 par les sylvestres, les gnomes, les goubelins et les microdragonidés.
Chaque pays signataire s'est ainsi engagé à fournir au moins cinquante kilomètres carrés de forêts domaniales protégées de toute activité humaine (y compris l'exploitation forestière) en vue de la sauvegarde de ces espèces particulières dans un environnement le plus naturel possible.


 Conservation et naturalisation

Un exemplaire, pour l'instant le seul au monde, a été naturalisé et conservé au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris. Il s'agit d'une femelle archiaranéide de 1,24 mètre de hauteur sauvée en 1918 de l'attaque draconique du Muséum d'Histoire Naturelle de Londres et conservée dans un grand aquarium rempli de formaldéhyde au centre de la galerie de l’Évolution.
Appelée Ungoliant en Angleterre en référence à la mythologie sindarine, elle fut renommée Arachne par les scientifiques français suite à la destruction accidentelle de sa fiche d'identité durant son voyage vers Paris.
Depuis le 1er Juin 2008, Arachne n'est plus visible par les visiteurs du Muséum de Paris ; en effet l'exposition prolongée d'Arachne à la lumière du jour attaquait de plus en plus sérieusement son exosquelette, la menaçant de désintégration. Des photos en taille réelle d'Arachne la remplacent et un modèle de cire en taille réelle devrait prendre sa place d'ici 2020 dans la grande galerie.

2 commentaires:

  1. Et on ne parle pas assez des forêts de plantes géantes formant des bourgeons de cinq mètres de haut au milieu de feuilles de 20 mètres de long.

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  2. Ah ben faut bien que les géants de pierre se nettoient leur graniteux fessier ! :)

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