jeudi 12 mai 2016

Délicatesse de l'instant, fugacité de l'instant...



Senteurs printanières sous l'astre ardent,

Couleurs élégantes et pétales paradant,

Bourdonnements insectoïdes incessants,

Quiétude matinale et songes évanescents...



Je ne sais combien de haïkus disparaissent

Durant ces innombrables instants de paix.

Peu importe qu'autour le monde se presse,

La poésie est lenteur par bien des aspects...

2 commentaires:

  1. C'est beau et plein d'une lumineuse quiétude que seul un combattant de la philosophie comme toi peut produire.

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  2. Merci, Ô Grand Lutin. :)
    Mais avant tout, ces songes appartiennent à la sérénité des Promenades... Tout le monde peut ressentir cette "lumineuse quiétude" en prenant le temps de se poser sur un banc au milieu des fleurs.

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