samedi 1 avril 2017

De la théorie de la gravitation quantique à boucles en tant que post-réalisme de l'herméneutique allopathique...



Depuis Paul Dirac et ses théories autour de la variation des flux non-baryoniques autour des nucléons primordiaux, il est acquis qu'en physique des quantas, la gravitation se résume à un mouvement essentialiste vers la place du non-littéral nucléaire tel que mis en évidence par Döbereiner, celui-là même qui, au début du XIXe siècle démontra la vacuité électronique des gaz nobles, tels que le radon ou le xénon, et permit, un siècle plus tard l'émergence de la gravitation quantique à boucles.
De fait, la gravitation quantique à boucle pose d'emblée un problème d'ordre phénoménologique; en effet si la gravitation est un spin inverse de celui de l'atome primordial, alors se pose la question : d'où proviennent les hadrons lourds de type bottom et down ? En effet, ces derniers ont la caractéristique remarquable d'être des particules élémentaires composites; un mélange de quarks up et quarks truth auxquels se rajoute l'énergie d'un photon de masse non-nulle. Comment donc supposer que la réification de ces quarks se fasse d'un point de vue post-relativiste ? Cela nécessiterait en fait une quantité d'énergie qu'on ne retrouve guère ailleurs qu'au cœur des pulsars les plus énergétiques.

A cette remarque, Bohr avait rétorqué qu'il était impensable qu'une condition métapsychique du positron l'empêche de gagner en saveur ni de rétablir son spin, sous la condition nécessaire d'avoir préalablement été bombardé de neutrinos à haute gravité.
Son ami Rutherford abonda longtemps dans son sens, mais y apporta une subtilité qui risquerait bien de compromettre la logique pataphysique de sa conception du quantum initial.
En effet, d'après Rutherford, - découvreur de l'existence du noyau de l'atome - la constitution du graviton empêche purement et simplement les neutrinos à haute gravité de traverser le positron sans en affecter sa saveur, ce qui était pourtant la condition à ce que le positron ne redevienne pas matière pure et disparaisse dans ce qu'on est obligé d'appeler un fluide rhéoépaississant quantique.

Où tout cela nous mène-t-il ? Tout simplement vers une reconsidération empirique de la médecine allopathique. En effet, cette dernière ayant toujours privilégié les hypothèses d'une physique non-linéaire et d'une chimie à composante pré-dialectique, ce qui semble aujourd'hui balayé par les expériences de vibrations négatives des hadrons lourds down, enfin menées par le professeur Fritzsch le mois dernier, après de longues décennies d'incertitude, nous ne pouvons enfin plus ignorer l'existence d'une épistémologie dialectique, qui reste encore à construire.

En résulterait donc une médecine post-scientifique qui transgresserait les clivages et les dogmatismes à la fois des tenants du mesmérisme animal et de la science conventionnelle; de quoi remettre, certes, en cause un nombre important de vérités tenues pour acquises à notre époque de troubles métaphysiques. Car oui, si les vibrations quantiques se déroulent dorénavant à échelle macroscopique, il y a fort à parier que les résonances Schumann s'intensifient, passant au-delà de 13 Hertz, ce qui nous amènerait à la porte d'une conscience heptadimensionnelle, dernière étape avant la compréhension des treize dimensions spirituelles, celles-là mêmes que les enfants indigos manipulent avec tant d'insouciance malgré leur jeune âge.


En bref et pour conclure, l'étude de la parapsychologie post-vérité ne fait que débuter...





Ce billet est un hommage au Lutin et à la Mutine d'Écouves, en ce 1er Avril. Vous pourrez voir sa contribution à ce passionnant débat sur la physique quantique sur son blog...

A suivre...

4 commentaires:

  1. Ça n'a jamais été aussi clair, bravo pour cette lumineuse démonstration !

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  2. Merci à vous ! La science n'arrête jamais sa course vers le progrès et la connaissance des milieux aquatiques.

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